Comprendre le SEO
Le Search Engine Optimization tout comme d’autres mots importants sont expliqués dans un article de notre blog (Parlez-vous Web et SEO ?). Quelle est la différence entre référencement naturel et payant ? Sur les pages de résultats de Google, la différence entre ces deux notions est de moins en moins flagrante, tant le référencement payant s’apparente de plus en plus au référencement naturel. Pourtant, la différence est bien réelle. Sur une page de résultats, le référencement naturel (SEO) représente les liens des pages Web générés par l’algorithme de Google en fonction de leur pertinence. C’est ce que l’on appelle les résultats organiques (ou naturels). Le référencement payant (SEA) représente les annonces sponsorisées situées en haut et en bas des pages de résultats, SEO Lille de part et d’autre des résultats organiques. Il s’agit d’emplacements publicitaires gérés par la régie de Google (AdWords) et fonctionnant sur un principe d’enchères au coût par clic (CPC). Vous les trouverez tout au long de l’article. Le nombre de requêtes saisies sur Google connait toujours une croissance forte (10 % par an) et la diversité des requêtes saisies double tous les mois. Il y a donc de la place pour tout le monde. Même lorsque l’on commence. 60 000 requêtes sont saisies sur Google. Le SEO est l’ensemble des techniques qui permettent à votre site d’être mieux compris par Google et de remonter dans ses résultats de recherche. Le but ultime est d’apparaitre sur la première page de résultats de Google (95% des gens ne regardent pas la seconde page de résultats) et si possible dans les 3 premiers résultats. L’objectif de cet article est donc simplement de synthétiser une stratégie simple, optimisée pour le SEO. Elle est réalisable par une personne débutante et m’a permis d’avoir énormément de résultats. La seule chose à faire est de suivre chaque étape de cette méthode qui fonctionne à chaque fois. J’espère qu’elle vous sera utile.
L'Index Mobile First (IMF) devait être le grand sujet de discussion "casse-gueule" de 2018 et finalement, il en a été très peu question. En effet, de nombreux sites sont passés dans cet index (recevant dans ce cas un message dans la Search Console) sans aucun impact en trafic ou au niveau du positionnement. Bref, l'IMF s'apparente plus à de la "plomberie Google" (comparable par exemple au projet Caffeine en 2010) plutôt qu'au risque SEO auquel on s'attendait cette année. Comme d'habitude, Google a proposé des outils et services, et de nouvelles versions de ceux qui existaient déjà, afin de mieux gérer et tester nos sites web. RAS d'une façon générale à ce niveau. Google prépare un plugin WordPress intégrant la Search Console, Analytics, etc. Finissons cette année 2018 avec les soucis qu'a connu Google avec la Commission européenne, son projet Dragonfly de moteur chinois peu apprécié en interne (notamment) et d'autres actualités autour de ses finances (qui vont cependant très bien, merci). Il manque bien d'autres actualités négatives ici (sexisme, faible paiement de l'impôt dans certains pays dont la France, etc.
Le positionnement est influencé par le nombre de backlink, la popularité du backlink mais également aux nombres de pages. Baidu a considérablement évolué et ne cesse de progresser. Au vu des échanges internationaux et de l’importance de la langue chinoise dans les échanges internationaux , Baidu est un canal à surveiller de très près. Comment optimiser son site internet pour Baidu ? L’optimisation sur le moteur de recherche chinois est différente de celle employée par les référenceurs de Google. Il ne faut pas oublier que c’est un moteur de recherche chinois, donc monolingue. Il est nécessaire de parler le mandarin pour optimiser votre contenu. La majorité des Chinois ne parle que très peu anglais, ainsi le mandarin est à privilégier pour votre contenu. Les algorithmes sont chinois donc peu adaptés pour le contenu anglophone. Ainsi, le contenu anglais sur Baidu aura une grande difficulté à s’indexer et apparaître dans le moteur de recherche. En choisissant de ne mettre aucune extension à la fin de l’URL, vous vous donnez plus de chances d’avoir une URL stable, quels que soient les CMS que vous utiliserez dans le futur. C’est donc mieux a priori. Faut-il mettre un slash à la fin de l’URL ? Dans tous les cas ou seulement pour certains types de contenus ? Certains assurent qu’il faut absolument « fermer » ses URL en ajoutant systématiquement un / à la fin. Vous l’avez compris, je ne suis pas de cet avis (Wikipedia non plus semble-t-il, ça ne les empêche pas de cartonner en SEO…). Par contre, comme pour le coup des WWW, une fois que vous avez décidé si vous mettez des slashes ou pas en fin d’URL, il faut vous y tenir. Redirigez les mauvaises URL vers les URL officielles. Si c’est plus simple de toujours ajouter un / en fin d’URL, ça ne pose aucun souci.
Qu’est-ce que c’est ? Un backlink est aussi appelé un lien entrant. C’est un lien hypertexte placé sur un site externe et pointant vers une page de votre site. C’est le MUST absolu ! Lier votre contenu vers d’autres pages de votre site, cela permet d’ajouter de la pertinence aux pages mais maintient également l’attention des internautes en les déplaçant vers votre site web. Pourquoi les backlinks sont-ils important ? 1. Premièrement, les backlinks amènent potentiellement du trafic sur votre site. 2. Dans un second temps, les backlinks vont transmettre du “Jus” à votre site c’est à dire une certaine puissance auprès de google en terme de référencement. Si votre contenu est mal organisé et surtout incompréhensible, il fera fuir vos lecteurs ! Parce que les internautes restent en moyenne 8 secondes sur une page et sont plus captivés par les éléments visuels. Donc inutile de trop surcharger d’informations. Les internautes viennent chercher une information bien précise, ils n’ont pas le temps de se perdre dans une lecture sans fin de votre page.
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L’énergie et la Laponie
La question des ressources naturelles est clairement un des sujets cruciaux de ce XXIe siècle, et elle va avoir une grande influence sur les rapports futurs entre pays. La semaine dernière encore, j'ai participé à un meeting absolument captivant en Laponie, lors duquel un intervenant a dressé un tableau prévisionnel des relations internationales dans les prochaines décennies. Son analyse était particulièrement percutante. Il évident que les besoins grandissants en énergie d’économies en pleine croissance vont porter atteinte au coût du ravitaillement énergétique. Selon toute logique, un tel contexte devrait accroître les rivalités entre des pays confrontés à ce manque, tout particulièrement s'il est accompagné d’une perte générale de confiance dans la capacité du marché à satisfaire une demande toujours en hausse. D'après cet intervenant, des entreprises nationales pourraient contrôler la majeure partie du pétrole, ce qui complexifierait particulièrement les préoccupations géopolitiques à l'échelle internationale. Plus encore, devant l'épuisement de l’énergie, certains Etats pourraient être tentés de se garantir un accès à ces énergies. Si les chefs d'Etat voyaient l’accès à ces réserves naturelles comme essentiel pour préserver la survie de leur régime, des affrontements entre pays pourraient même apparaître. Cependant, même sans qu'il soit forcément question d'engagement direct, il est certain que lorsque certains Etats feront tout pour se prémunir d'une possible carence énergétique, les opérations mises en place auront de colossales répercussions à l'échelle internationale. Et plus les réserves baisseront, plus cette concurrence énergétique sera susceptible de s'appuyer sur une force militaire pouvant causer des tensions, et même, bien sûr, des conflits. Les pays disposant de trop faibles ressources énergétiques seront par ailleurs tentés de se servir de la promesse d’alliances politiques pour aménager des rapports privilégiés avec les puissances pétrolières. Bref, le problème énergétique sera, au cours des années à venir, un véritable casse-tête, et un des principaux moteurs de conflits au niveau international. Même si le propos était plutôt sombre, j'ai en tout cas beaucoup apprécié ce meeting. J'ai notamment apprécié l'organisation, qui nous a permis de nous concentrer sur les contenus. Si ça vous intéresse, je vous mets d'ailleurs en lien le site de l'agence qui l'a organisé : l'organisation aux petits oignons nous a permis de nous concentrer sur les échanges, plutôt que devoir nous inquiéter des problèmes pratiques. Et ça, ça n'arrive pas tous les jours. Davantage d'information sur l'organisation de séminaire en Laponie en cliquant sur le site de l'organisateur.
La technologie
Technologie - Le NCS 2 est alimenté par le VPU Movidius Myriad X, offrant une amélioration des performances jusqu’à 8 fois supérieure au premier Neural Compute Stick. Technologie - La Devcon est la réunion annuelle des développeurs et chercheurs de l’écosystème Ethereum. Technologie - BTU Protocol tente d’imposer un protocole s’appuyant sur la blockchain afin de s’attaquer au monde de la réservation en ligne. L’objectif est ici de passer outre les centrales de réservations, qui jouent un rôle d’intermédiaire sur ce marché. Technologie - Panasonic a développé en crowdfunding un concept de casque conçu pour les travailleurs en open space qui souhaitent s’isoler au milieu de leurs collègues. Celui-ci dispose d’œillères qui limitent le champ de vision afin de ne pas succomber aux distractions. Technologie - Dropbox automatisera la reconnaissance de caractère sur les fichiers, une fonctionnalité destinée pour l’instant aux utilisateurs professionnels. Cette fonction de reconnaissance permettra de facilement retrouver les documents PDF ou images uploadées sur le cloud de Dropbox. Dans le cadre de la loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015, la France s’est fixée des objectifs ambitieux pour engager la transition vers une économie circulaire. Publiée le 23 avril 2018, la feuille de route économie circulaire propose ainsi de passer à l’action en présentant des mesures concrètes afin d’atteindre ces objectifs. Aujourd’hui, le principal défi est celui de la mobilisation de tous - citoyens, collectivités, entreprises, associations, administrations, acteurs de la recherche et du développement dans tous les territoires - pour un réel passage à l’acte et un passage à l’échelle. Lancement le 24 octobre 2017 des travaux d’élaboration de la feuille de route de l’économie circulaire. Travail des parties prenantes au sein de 4 ateliers : territoires, plastiques, consommation/production durables - ODD 12, instruments économiques. MakeOurPlanetGreatAgain. Dans le sillage du leadership qu’elle a pris sur le climat, la France peut devenir le fer de lance de l’économie circulaire au niveau mondial. L’économie circulaire va en outre contribuer à l’atteinte de certaines des cibles des objectifs du développement durable (ODD) de l’Agenda 2030 pour la France. Le numérique constitue également une opportunité pour la transition vers une économie circulaire, en permettant notamment la mise en réseau, l’accès à l’information et à la donnée pour le citoyen, l’aide à la décision et la production de nouveaux services. Pour optimiser le développement de ces nouveaux outils, un Paquet numérique sera mis en place. Il s’agit d’organiser la mise en réseaux des acteurs concernés par l’économie circulaire, en favorisant l’accès à l’information et à la donnée. Cette mise en réseau facilitera aussi l’aide à la décision et le partage de biens et de services, notamment par des méthodes collaboratives. L’islamisme ne serait pas un si grand problème si tant de non-musulmans ne lui tenaient la porte. Vous liez donc terrorisme et immigration ? L’émergence d’une contre société islamique, vecteur de terrorisme, au sein de la communauté des Français musulmans n’était pas inscrite au programme du mouvement migratoire. Mais il est surprenant de constater que, malgré la montée du terrorisme et des tensions ethniques, l’immigration se poursuit et même s’amplifie en France. Le Grand Abandon développe l’idée que l’immigration musulmane a été et continue d’être un outil-clé dans la guerre féroce que les tenants de la mondialisation, ceux que j’appelle les « mobiles », livrent aux « enracinés ». Vous accusez nos gouvernements successifs de « lutter (à moitié) contre le terrorisme pour éviter de stigmatiser les différentes populations musulmanes ». Comment devraient-ils donc combattre le terrorisme islamiste ? En enfermant à perpétuité les fichés S au mépris du droit ? Brandir le « droit » chaque fois qu’il est question des fichés S n’est rien d’autre qu’une technique d’intimidation de la parole libre. Un peu comme traiter d’ « islamophobe » toute personne qui critiquerait l’islam. Accuser l’autre de racisme ou de fascisme permet de contourner le dilemme immigration-terrorisme. Lutter contre le terrorisme à moitié, c’est laisser les écoles et les mosquées salafistes proliférer. Vous critiquez la généralisation du hallal en France, laquelle répond à une demande croissante. Aujourd’hui, est-il encore réaliste et efficace de promouvoir l’assimilation républicaine des populations immigrées musulmanes ? Le hallal est devenu un marqueur identitaire politico-religieux. On a l’impression que c’est cuit, qu’il ne viendra pas avec vous. François BAYROU. - Plus c’est large et mieux c'est, mais je n'ai jamais pensé que les ralliements étaient faciles. Je sais très bien que la tendance naturelle des choses…. Mais il y a un espoir ? François BAYROU. - Moi j’ai un espoir. Il y a quand même une partie de la droite, je pense à Alain Juppé évidemment on peut mettre Valérie Pécresse. Xavier Bertrand, c’est plus compliqué et tout le groupe indépendant, agir, qui reste très attaché aux valeurs de droite, c’est qu’ils n'ont pas envie de passer le pas, de franchir le Rubicon et d’aller à la République en marche. Comment est-ce que vous expliquez cela ? François BAYROU. - Qu’est-ce qu’a dit l’élection d’Emmanuel Macron ? Le temps où Corinne Lepage et François Bayrou militaient ensemble est bel et bien révolu. L'ancienne ministre se dit aujourd'hui «ulcérée» par la manière dont le président du MoDem cherche à imposer ses candidats dans la majorité présidentielle. Initialement, La République en marche (LREM) tablait sur une trentaine de candidats MoDem aux législatives. Les déclarations belliqueuses de François Bayrou, vendredi dernier, devraient in fine permettre au MoDem de compter sur une centaine de candidats. «Que François Bayrou ait aidé à l'élection d'Emmanuel Macron, c'est indéniable, il faut reconnaître ce qui est» mais «je suis ulcérée des prétentions du MoDem», s'est insurgée Corinne Lepage lundi sur LCP. «Exiger 100 circonscriptions alors qu'il ne pèse absolument pas cela» c'est «revenir à des vieilles lunes, à de la vieille politique», insiste l'ancienne ministre. Celle-ci dénonce par ailleurs «une certaine forme de népotisme» quand elle regarde le nom des candidats proposés par François Bayrou.